Jacques Hyver 2023 – Enlevé en Charente le 28 juin 1980, Michel Maury-Laribière, directeur d’un fabricant de carrelage et vice-président du Conseil national du patronat français. Le montant de la rançon proposé est de trois millions de francs suisses. Le dossier est traité personnellement par le commissaire Bardon, responsable du SRPJ de Bordeaux. Un homme de 29 ans, Jacques Hyver, a finalement été appréhendé au bout de quatre mois.
Durant cette période, il a également tué le gérant d’une discothèque. Alors qu’il purge une peine de douze ans, Hyver tente de kidnapper un financier suisse et s’évade à deux reprises. Le criminel a été libéré en 2005 après avoir purgé sa peine. Caroline a été victime d’agressions, d’enlèvements et de viols répétés dans un parking d’Angoulême fin août 2004.
Les enquêteurs établissent des comparaisons avec une affaire de viol datant de 2001, dans laquelle Raoul Becquerel avait été libéré de prison dans l’attente de son procès en raison d’une erreur de procédure, selon les autorités. Dans les deux semaines qui ont suivi, cela s’est produit deux fois. La tentative d’évasion de la victime a été un succès dans la soirée du 29 au 30 septembre 2004.
Le dimanche 25 décembre, Faites entrer l’Accusé reviendra sur son sujet, l’affaire Jacques Hyver, et ne prendra pas de vacances. Vous pourrez retrouver cet épisode ce soir sur RMC Story. Le samedi 28 juin 1980, vers 8 heures du matin, Michel Maury-Laribière quitte son domicile de Confolens (Charente) pour se rendre à son usine pour un rendez-vous vital avec son fils Jean-Luc.
Un gendarme lui ordonne de s’arrêter à l’approche des six kilomètres de route. Lorsque Jean-Luc ne remarque pas l’arrivée de son père, il s’inquiète d’un accident et décide de faire demi-tour. Il continue à pied jusqu’à tomber sur la voiture de son père garée sur une route de campagne.
Quelque chose a attiré mon attention sur le siège passager : une lettre. La rançon réclamait trois millions de francs, et il s’agissait prétendument d’un enlèvement. Jean-Luc lit le message qui demande au destinataire de ne pas contacter les autorités. Le 2 juillet est le jour d’échéance pour la rançon.
Groupe connu sous le nom de « gumball »
L’histoire devient virale à la télévision après que Jean-Luc a choisi d’appeler la police par souci pour la sécurité de son père. Après avoir occupé les postes de vice-président du Conseil national du patronat français (prédécesseur du MEDEF) et de directeur des Tuileries et briqueteries françaises, le PDG exerce une influence considérable au sein de l’industrie française. Les employés de son lieu de travail ont fait un geste historique en proposant d’aider à payer la rançon.
Ni cette idée ni Jean-Luc ne seront acceptés. L’équipe de police chargée de l’enquête compte perquisitionner au domicile de Jean-Luc afin d’obtenir les aveux les plus véridiques du ravisseur sur l’enlèvement de l’industriel. La police a lancé l’opération « gumball » le 2 juillet, le jour même où la rançon a été demandée. Six cents agents ont encerclé la ville et vérifient désormais les plaques d’immatriculation de toutes les voitures qui passent.
Passé six jours, le ravisseur prendra contact avec Jean-Luc pour établir un appel téléphonique avec son père. Cependant, l’agent n’a pas pu suivre l’appel en raison de la connexion soudaine. Le seul changement a été un report de quelques jours. Lorsque le ravisseur retrouvera Jean-Luc, il compte bien lui remettre la rançon. Il apprend alors que la police est à leurs trousses, rendant infructueuse leur chasse au trésor.
Il accepte l’offre de Jean-Luc de retrouver le responsable de l’enlèvement de son père pendant qu’ils sont à Paris. Les propriétaires d’un gîte en Charente qui l’avaient loué à un couple qu’ils qualifiaient d’« étrange » décident de contacter les autorités. La police arrive alors et commence à frapper à la porte.
“Quand nous l’avons ouvert, la femme a dit ‘ne tirez pas, j’ai l’otage'”, a déclaré l’inspecteur en chef Jacqueline Marinont. Ils pensèrent que ce devait être la bonne porte, car ils furent persuadés d’y croire. Lors de leur perquisition dans la station, les policiers ont découvert Michel Maury-Laribière enchaîné à un lit. Ses agents l’ont libéré sans payer la rançon après onze jours de prison.
La femme qui a reconnu avoir hébergé le PDG s’est rapidement lancée dans une attaque contre le responsable. Elle voit Jacques Hyver, un homme de 29 ans issu d’un milieu sympathique. Le couple voulait voyager et découvrir le monde, mais ils manquaient de fonds. En conséquence, Jacques a conçu un plan pour kidnapper quelqu’un afin d’amasser une grosse somme d’argent.
Même si sa conjointe est réticente, elle finira par lui tendre la main et écrire les lettres à la famille Maury-Laribière. Selon l’inspecteur, elle n’aurait jamais commis un tel crime si sa passion pour Jacques Hyver n’avait pas été aussi forte. Un individu poursuit un homme. La police espère apercevoir l’homme alors qu’il quitte l’une des discothèques locales, car elle sait qu’il fréquente le quartier. Suite à cela, il est accusé de l’enlèvement de Michel Ma.
Ury-Laribière
Ces résultats soutiennent la recommandation d’une peine de prison pénale de douze ans à son encontre. L’individu a été appréhendé en Suisse le 5 janvier 1988, après avoir quitté la prison à bord d’un camion poubelle le 10 novembre 1987. Il sera libéré après avoir purgé sa peine en 2005.
L’usine charentaise où travaillait le premier vice-président du Conseil national du patronat français (CNPF) le 28 juin 1980, n’a jamais reçu de visite. La liste comprend désormais le nom d’un autre patron qui a été enlevé. Sa date de sortie est le 9 juillet. Une CX beige était au volant de Michel Maury-Laribière le 28 juin 1980. La campagne charentaise voit le jour. Aujourd’hui, il devrait faire beau.
Le samedi matin, le patron emprunte la D 59 jusqu’à son usine, la Tuilerie briqueterie française (TBF), située entre Confolens et Roumazières. En se promenant tranquillement le long de la Vienne, il savoure un environnement à couper le souffle. Il profite également de l’occasion pour dicter ses lettres. En semaine, il est à Paris pour son poste de vice-président du CNPF ; le week-end, il dirige la tuilerie en Charente et passe du temps avec sa famille.
Son éditorial dans le récent numéro de la revue économique “L’Expansion”, vantant le style de gestion et les résultats du dirigeant, allait dans ce sens. Le suspect habituel, Michel Maury-Laribière, se dirige lui aussi vers le sud sur la « charmante petite route Chirac » en direction de Juin. A ce moment précis, un policier lui fait signe de s’arrêter.
Alors que le verre est sur le point de tomber, le patron est presque aveuglé par les gaz lacrymogènes. Le premier des onze jours de misère a commencé. Moins de cinq ans se sont écoulés depuis l’enlèvement de dix patrons français. Jacques Hyver a fait grève. Le directeur général de l’usine, Jean-Luc Maury-Laribière, a appelé sa mère pour s’assurer qu’il était parti à l’heure habituelle à 7 h 45 du matin après avoir constaté l’absence de son père.
Tout commence lorsque l’aîné monte dans sa voiture et fait marche arrière. A cet endroit, il retrouve la Citroën sur une route de gravier. Démarrez le moteur et allumez la radio. Perchée sur le siège passager se trouvait une note portant la signature « FM ». Outre l’engagement de ne pas prévenir les autorités, il a demandé 3 millions de francs de rançon.
Ils ont défié l’interdiction de onze jours imposée par le gouvernement, même si le reste de la France ne l’a pas fait. Le ou les ravisseurs furent rapidement poursuivis par des individus célèbres tandis que les policiers étaient eux-mêmes des superstars. L’opération Gumball a commencé. Il y a un flash unique à la télévision qui annonce l’enlèvement de Michel Maury-laribière.
Environ 600 gendarmes et policiers patrouillent dans le Nord Charente. Les ravisseurs vont certainement prendre contact avec le commissaire du SRPJ de Bordeaux, Claude Bardon, qui emménage donc chez Jean-Luc. Vous pouvez vous attendre à ce que ce soit bientôt terminé. Jean Labarussias, l’ancien directeur technique de l’entreprise, affirme qu’Hyver ne m’a pas contacté une, mais deux fois.
Je peux vous assurer que la simple mention des mots « C’est Hyver au téléphone » vous fera frissonner le dos. Mon souvenir est aussi clair que l’aube. Il voulait que je fasse savoir à Jean-Luc de payer la rançon. Le ravisseur augmente le volume de leurs appels. Les flics savent désormais qui est cet individu.
Nommé Jacques Hyver, ce criminel est âgé de 31 ans. Les petits larcins font partie de ses convictions passées. On est loin des terroristes d’extrême gauche qui terrorisaient les patrons depuis le milieu des années 1970. Enlevé en Charente le 28 juin 1980, Michel Maury-Laribière, directeur d’un fabricant de carrelage et vice-président du Conseil national du patronat français.
Le montant de la rançon proposé est de trois millions de francs suisses. Le dossier est traité personnellement par le commissaire Bardon, responsable du SRPJ de Bordeaux. Un homme de 29 ans, Jacques Hyver, a finalement été appréhendé au bout de quatre mois. Durant cette période, il a également tué le gérant d’une discothèque. Alors qu’il purge une peine de douze ans, Hyver tente de kidnapper un financier suisse et s’évade à deux reprises.
Le criminel a été libéré en 2005 après avoir purgé sa peine. “Tu t’appelles Hyver, Jacques”. M. Georges Pont, le prétendu destinataire du président aux assises de Charente, a tourné la tête vers le fond de la salle, indiquant qu’il entendait rester muet tout au long du procès. Le procès de lui et de sa compagne Dominique Vernert remonte aux années 1980, lorsqu’ils étaient accusés d’avoir arrêté et séquestré illégalement M. Michel Maury-Laribière, qui était PDG des Tuileries et de la briqueterie française ainsi que vice-président de la CNPF.
Près de son domicile de Confolens, Maury-Laribière est enlevé et trois millions de francs sont demandés en rançon, mais malheureusement rien n’aboutit. Interrogé sur son silence volontaire, Jacques Hyver reste muet. Croit-on vraiment que Me François Gibault, son avocat, a tout clarifié : Mon client veut que je vous dise qu’il a expliqué ce qu’il a dit au juge d’instruction et aux policiers, et qu’il s’est donné beaucoup de mal pour tout clarifier.
AccSelon les psychiatres, il entendrait la phrase “Ceux qui se taisent sont ceux qui souffrent” lorsque les premiers témoins se présenteraient. Mais entre-temps, cette affaire a donné à chacun l’occasion d’entendre une méchante histoire qui est aussi une folle histoire d’amour.
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